mardi 31 décembre 2013
lundi 25 novembre 2013
12e Foire aux Tandems : mon texte
Se balancer sur les ailes du vent
S’envoler dans les nuages
Rêver
Courir à en perdre haleine
Parcourir le monde à grandes enjambées
Vivre
Marcher à pas de géant
Comme sur des échasses au long cou
Voir
Chanter à tue-tête et tutoyer les anges
Sauter dans la marelle du ciel
Aimer
Rire à gorge déployée, comme un fou
En une cascade rafraîchissante
Respirer
Se lover dans la chaleur de l’autre
S’enfouir dans les plumes des oiseaux
Dormir
Frotter sa peau au sel marin
Laisser les vagues rouler sur son corps
Sentir
S’envoler dans les nuages
Rêver
Courir à en perdre haleine
Parcourir le monde à grandes enjambées
Vivre
Marcher à pas de géant
Comme sur des échasses au long cou
Voir
Chanter à tue-tête et tutoyer les anges
Sauter dans la marelle du ciel
Aimer
Rire à gorge déployée, comme un fou
En une cascade rafraîchissante
Respirer
Se lover dans la chaleur de l’autre
S’enfouir dans les plumes des oiseaux
Dormir
Frotter sa peau au sel marin
Laisser les vagues rouler sur son corps
Sentir
12e Foire aux Tandems
Merci à elle d'héberger cette rencontre.
Comme toujours, de jolies découvertes !
Voici mes coups de cœurs parmi les illustrations proposées :
Nathalie Mossmann
Claire Dublé-Verger
Une atmosphère, un coup de crayon, une palette de couleurs,
une texture, de la transparence ou au contraire des effets de matière...
c'est tout cela qui peut accrocher mon attention dans une illustration.
lundi 11 novembre 2013
Tandem Jeunesse
Ca y est !
Notre projet du Tandem Jeunesse 2013 est enregistré !
Vous pouvez découvrir "Les Délices de Séraphine"
sur le lien suivant :
Voici trois doubles pages qui vous donnent un aperçu de l'histoire
et du personnage de Séraphine,
une éléphante pleine de coeur et de fantaisie
Bien sûr, ce n'est pas encore terminé, mais ça prend forme...
La dernière illustration dans cette série était en réalité la 1ère effectuée par Sofish.
Depuis, sa patte a un peu évolué,
mais tout cela va s'équilibrer au fur et à mesure du projet,
car il y a encore du pain sur la planche !
Merci Sophie pour ta sympathique collaboration.
La dernière illustration dans cette série était en réalité la 1ère effectuée par Sofish.
Depuis, sa patte a un peu évolué,
mais tout cela va s'équilibrer au fur et à mesure du projet,
car il y a encore du pain sur la planche !
Merci Sophie pour ta sympathique collaboration.
jeudi 7 novembre 2013
Le 11e Foire aux tandems (suite)
Partie un beau matin
pour la 11e Foire aux Tandems chez Maurèen,
puis Véronique Brochet
qui a titillé ma curiosité avec son projet autour de vieux papiers.
qui a titillé ma curiosité avec son projet autour de vieux papiers.
Voilà donc deux nouveaux projets en cours,
de nouvelles collaborations,
des échanges de mots et d'images.
Bref ! de quoi s'amuser encore.
Dans un coin de ma tête...
Un nouveau texte qui voit le jour.
En voici le début.
Dans un coin de ma
tête, il y a un petit bout de rêve. Mais ma tête est un vrai bazar ! Quand
je la secoue, ça fait un vacarme du tonnerre. Une sarabande d’enfer. Un
charivari de tous les diables. Tout est sens dessus dessous ! Et comment
s’y retrouver dans tout ce fouillis ? Impossible de savoir si mon petit
bout de rêve est encore par là… ou s’il s’est déjà fait la malle !
mardi 22 octobre 2013
Quelques nouvelles de la 11e Foire aux Tandems
Un petit tour sur le blog de Maureèn
(merci à elle pour l'organisation de cette 11e Foire aux Tandems)
Quelques coups de cœurs :
Les oiseaux colorés de Julia Delarue
Les petits papiers de Véronique Brochet
Le trait d'Osca Papillune
et le style toujours aussi délicat
Jeux, jouets
You hou !
Plein de bonnes nouvelles aujourd'hui...
Tout d'abord, j'ai été très heureuse d'apprendre
la sélection du poème que j'avais proposé au Prix Lucien Laborde
pour une édition collective :
Cet ouvrage est vendu au profit du Secours Populaire français.
lundi 14 octobre 2013
Se balancer sur les ailes du vent
Se balancer sur les ailes du vent
S’envoler dans les nuages
Rêver
Courir à en perdre haleine
Parcourir le monde à grandes enjambées
Vivre
Marcher à pas de géant
Comme sur des échasses au long cou
Voir
Chanter à tue-tête et tutoyer les anges
Sauter dans la marelle du ciel
Aimer
Rire à gorge déployée, comme un fou
En une cascade rafraîchissante
Respirer
Se lover dans la chaleur de l’autre
S’enfouir dans les plumes des oiseaux
Dormir
Frotter sa peau au sel marin
Laisser les vagues rouler sur son corps
Sentir
Rêves exotiques
Partez à tire d’aile
au pays des merveilles !
A pas de velours,
ivoire et ébène,
Prenez la route des
épices.
Dans mon hamac, je
suce ma vie en rose
Dans une atmosphère
de chant d’été.
A votre gré !
Irrésistible carnaval
de couleurs à mixer :
Limonade grenadine ou Vichy fraise
Pamplemousse chocolat
et diabolo citron.
*
L’avenir est exotique
Comme mes rêves
multicolores.
Je me promène en
bikini sur les plages brûlantes
Rose à pois rouges
sous les palmiers
Qui bercent leurs palmes
Green
Il y a des jours comme ça…
Il y a des jours comme ça…
Il y a des jours comme ça
Où tout semble tourner à l’envers.
Il y a des jours comme ça
Où le soleil ressemble à la pluie.
Il y a des jours comme ça
Où mon cœur se serre à l’intérieur.
Il y a des jours comme ça
Où tout a un goût de poussière.
Il y a des jours comme ça
Où même mes amis me font pleurer.
Il y a des jours comme ça
Où j’attends que les jours passent.
Il y a des jours comme ça
Où je voudrais ne plus être là.
Mais,
Il y a des jours comme ça
Où je me sens pousser des ailes...
Il y a des jours comme ça
Où le soleil est doux et la brise me berce.
Il y a des jours comme ça
Où mon cœur semble exploser de joie !
Il y a des jours comme ça
Où dans ma tête, ça bouge à toute vitesse !
Il y a des jours comme ça
Où on est bien avec ses amis.
Il y a des jours comme ça
Où je ris tellement que j’en pleure !
Il y a des jours comme ça
Où la vie est si merveilleuse !
11e Foire aux tandems : Garance et Indigo
Petit début de texte proposé à la 11e Foire au tandem.
J'espère qu'il titillera les pinceaux de quelqu'un...
Garance et Indigo
Chaque jour, en
passant sur le vieux pont de pierre, Garance se penche pour regarder l’eau de
la rivière. Elle aime ses reflets qui miroitent dans la lumière et changent
sans cesse de nuances : mousse, outremer, turquoise, améthyste, gris
souris… Lorsque Garance observe ces jeux
de couleurs, elle se sent emportée dans un monde magique.
Garance rêve en
regardant couler l’eau de la rivière. Elle laisse vagabonder ses pensées comme
des feuilles qui partent au fil de l’eau. Elle pense à la vie, à ceux qu’elle
aime, à ce qu’elle a fait hier, à ce qu’elle fera demain, à ce qu’elle sera
plus tard…
Garance aimerait
être peintre. Elle y pense en secret au fond de son cœur. Elle ne l’a encore
dit à personne. Elle voudrait être peintre, pour regarder couler des tubes les
couleurs éclatantes et profondes aux noms de voyages : bleu de Prusse,
terre de Sienne, jaune de Naples, céladon… Ce sont comme des pierres précieuses
dont elle se répète le nom dans sa tête, comme des bonbons acidulés dont elle
savoure le goût en les gardant longtemps sur la langue.
mardi 1 octobre 2013
Les jours changent d'habits
Toujours
Les jours changent d’habits
Mais ont la même tête
Ou l’inverse.
La vie déroule sa pelote
Familière entre nos mains
Mais comme il est loin
Le bout du bout du fil
Blandine Brunet-Gougat
Le parfum du tilleul
Dans le parfum du tilleul
Ma mémoire s’est enfouie
Douce et tendre nostalgie
Aux effluves de tisane
Dans le parfum du tilleul
J’ai grandi
Les pollens se sont envolés
Autour du tronc éparpillés
Dans la chanson du ruisseau
Et sur les pierres monumentales
Mes jeux se sont déployés
Arabesques enchantées
D’une maison à l’autre
Le parfum de tilleul
Envoûtant et léger
Fait valser ma mémoire
Et mes souvenirs brisés
lundi 30 septembre 2013
Genèse (poème)
Au commencement
Qu'y avait-il ?
Qu'y avait-il ?
De l'amour, de la chaleur
Ou déjà la solitude
Ou déjà la solitude
Le gouffre immense
Le vertige de l'angoisse
Qui oscille ?
Au commencement
Qu'y avait-il ?
Je me souviens seulement
D'une pièce carrée
Aux murs blancs
Et d'une fenêtre
De lumière froide
Je me souviens seulement
Que j'étais seule
Où étaient les autres ?
Sur le papier je traçais
Les signes visibles
De ma pensée
Premiers gestes de civilisation
Dans le néant
D'une pièce carrée
Aux murs blancs
Au commencement
Qu'y avait-il ? Blandine Brunet-Gougat
dimanche 29 septembre 2013
J'avais ouvert à deux battants
Un poème comme un galet
rond, ramassé et poli
sans rien qui dépasse,
rien de trop,
juste ce qu'il faut...
J'avais ouvert à deux battants
je jouais par terre dans la chambre
avec mes rêves
comme un enfant
j'attendais tout de la lumière
le rien de l'air, cela me suffisait
et soudain la volée de cailloux
la vie la nuit les autres
chacun avait jeté sa pierre
j'ai ramassé
ces pierres une à une
et je les ai regardées jusqu'au soir
sans comprendre
Jean-Pierre SIMEON
Un Homme sans manteau
dimanche 11 août 2013
Les oiseaux
Les oiseaux
Dans les airs, les oiseaux
ouvrent leurs ailes
et nagent dans les nuages.
Dans les arbres, les oiseaux
ouvrent leur bec
et crient dans les feuillages.
Sur la terre, les oiseaux
ouvrent leurs pattes
et dansent dans les herbages.
Sur les eaux, les oiseaux
ouvrent leurs plumes
et flottent sur les rivages.
Blandine BRUNET-GOUGAT
vendredi 9 août 2013
J’ai avalé un hérisson
Un petit poème qui vient de se finir :
J’ai avalé un hérisson.
Ca pique ! Ca pique ! Ca pique !
J’ai avalé du verre pilé.
Ca craque ! Ca craque ! Ca craque !
J’ai avalé plein de chardons.
Ca gratte ! Ca gratte ! Ca gratte !
J’ai avalé de la fumée.
Ca tousse ! Ca tousse ! Ca tousse !
J’ai avalé un verre d’eau de vie.
Ca brûle ! Ca brûle ! Ca brûle !
J’ai avalé de longues couleuvres.
Ca m’étouffe ! Ca m’étouffe !
J’ai avalé des langues de feu.
Ca crache ! Ca crache ! Ca crache !
jeudi 8 août 2013
mardi 9 juillet 2013
Mademoiselle la Coccinelle
Quatre petit vers...
pour participer au concours de "La Boîte aux histoires" sur Facebook
et tenter de gagner l'album
Pas de prunelle, ni de citronnelle
Pour Mademoiselle la Coccinelle !
Au réveil, c'est de groseille
Qu'elle habille ses ailes
Pour s'envoler vers le ciel,
Petit bouton vermeil.
J'espère faire la rencontre d'Adèle !
Pré-textes
En avril, j'ai transmis un manuscrit à l'association Pré-textes
pour une lecture d'un récit en cours d'écriture.
Il y a quelques jours,
j'ai reçu les premières fiches de lecture, largement positives.
Cela m'a fait du bien de voir
que mon projet d'écriture pour ce texte
soulevait exactement les réactions
et les questionnements que j'attendais.
Cela veut dire qu'il ne reste plus qu'à poursuivre ce projet,
en creusant encore le sillon...
lundi 8 juillet 2013
Tandem jeunesse
Mes coups de cœur graphiques sur ce Tandem 2013 :
Julie Grugeaux
Laurence Dechassey
Ursula Dejean
Sofish
Stéphanie Alastra
Luby
Marybulle
Nicole Devals
Violette
Après un premier choix sur le style et l'univers graphique
des illustrations proposées,
il faut ensuite pouvoir se projeter
dans ce que chacune évoque pour imaginer un texte...
Et ça, ce n'est pas toujours facile !
On peut parfois trouver une image magnifique,
mais ne pas se sentir capable d'écrire
sur le contexte qu'elle aborde
qui appelle un genre de texte, un type d'écriture, un public...
Pour ma part, je trouve très difficile
de devoir se positionner très vite auprès des illustrateurs
avec déjà un texte ou au moins quelques pistes.
Car j'ai besoin de temps pour laisser maturer les choses
et les idées aboutir.
Le temps que je réfléchisse et que les mots affleurent et déjà,
les illustrateurs dont l'univers me semblait le plus proche
ont fait leur choix et ont validé un binôme.
Stratégie et rapidité semblent indispensables pour être efficace !
Capucine
Un autre texte destiné à Isabelle Desternes
pour son illustration pleine de fantaisie
que l'on peut retrouver en bannière de son blog :
Bonjour !
Je m’appelle
Capucine.
Mais vous pouvez
aussi m’appeler Cerise ou Clémentine !
J’aime changer de nom,
selon le temps et mon
humeur.
Ca dépend des
couleurs.
Pourquoi devrait-on
être semblable tous les jours
puisque chaque jour
est différent ?
D’autres fois, je
m’appelle Lilas, ou Iris, ou Violette.
ou encore Garance,
Safran, Cannelle…
Myrtille, Olive,
Eglantine…
Rose, Mélisse, ou
Praline…
Un arc-en-ciel de
noms
plus jolis les uns
que les autres !
Je peux tous les
essayer
et ça me rend plus
gaie !
J’adore les
couleurs !
Pour moi, la vie est
une farandole.
Les couleurs dansent,
se mélangent, se transforment,
font rire les
journées grises
et les gens tristes.
Pour voir la vie en
couleurs,
je dessine et je
peins à toute heure.
Du matin jusqu’au
soir, avec mes pinceaux,
je dépose des
touches, à tire-larigot :
Du jaune citron pour
les ronchons,
Du rouge cerise pour
les timides,
Du vert épinard pour
les pleurnichards,
Du violet pour les
énervés,
Du vert anis pour les
endormis,
Du bleu indigo pour
les ramollos,
Du rose poudré pour
les fatigués,
Du noir charbon pour
les polissons.
Comme des
notes de musique,
je remplis la vie de
couleurs magiques.
Je trempe ma plume
dans les godets
et j’asperge de gouttes
rouges, orange,
carotte,
turquoise, outremer,
amarante,
avocat, réglisse et
coquelicot.
Je fais couler des
ruisseaux multicolores.
Je trace des vagues dans
l’eau de mer,
des ciels délavés de
roses et bleus mêlés.
Je parsème l’herbe de
fleurs colorées.
J’en donne pour tous
les yeux émerveillés !
Je mets des couleurs
dans la vie,
C'est comme ça. C'est ce que je suis.
Blandine Brunet-Gougat
Etre un homme libre
Pour le plaisir,
le début d'un texte sur lequel Méllie Théis
devrait poser prochainement ses couleurs magnifiques...
J'attends impatiemment...
Grimper aux arbres. Construire des cabanes.
Rire à gorge déployée en montrant ses dents.
Crier, chanter à tue-tête.
Se bagarrer avec ses cousins.
Jouer au ballon. Traîner autour du feu.
Y jeter des morceaux de bois ou de n’importe quoi.
Ne pas savoir quelle heure il est, quel jour on est.
Se dire
que c’est l’hiver quand il pleut et l’été quand le soleil est là.
Vivre chaque jour intensément.
Les bigoudis de Mamy Camomille
Un petit texte que j'avais proposé pour un concours
organisé par Nac'imagine :
Les Bigoudis de Mamy
Camomille
Mamy Camomille ne sort jamais
sans ses bigoudis, cachés sous un foulard coloré.
Mais comment sont les cheveux
de Mamy Camomille lorsqu’elle retire ses bigoudis ?
Hirsutes comme des toits de
cahutes ?
Eclatés comme des branches de
palmiers ?
Frisés comme des ressorts
énervés ?
Aplatis comme des spaghetti
trop cuits ?
Mous comme des guimauves sans
goût ?
Raides comme des canisses en
bambous ?
Rêches comme des ficelles
sèches ?
Comment sont donc les cheveux
de Mamy Camomille sans ses bigoudis ?
A bout de curiosité et pour
en avoir le cœur net, j’ai suivi un jour Mamy Camomille jusque chez elle et je
me suis caché dans le placard de la cuisine.
Après avoir vidé son sac à
provisions, rangé sa botte de radis et sa boîte de sardines, sa salade verte et
ses tomates rouges, son éclair au chocolat et son sirop de fraise, Mamy
Camomille a disparu un long moment.
Lorsqu’elle est revenue, je
commençais à avoir des fourmis dans les jambes, mais Mamy Camomille avait enlevé
son foulard… et ses bigoudis.
Et bien, vous savez
quoi ? Quand Mamy Camomille n’a plus ses bigoudis, elle a de beaux cheveux
bouclés et brillants qui sentent une odeur de printemps.
Au bord de la rivière
Cet après-midi, je suis allée lézarder au bord de la rivière
et cela m'a inspiré une série de haïkus :
Au fil de la rivière
passe le temps
l'eau coule
en reflets d'argent
tiges légères à peine tracées,
dans le vol des papillons.
Des touffes d'herbes émergent de la rivière,
petits îlots verts
et chevelus.
Les peupliers lancent leurs branches
vers le ciel immense.
Les nuages passent lentement.
Les feuilles dansent au bout des branches,
cœurs agités
et palpitants.
Petits scarabées bleus
au bout des tiges
minuscules fleurs
minuscules fleurs
Les libellules volettent sur la rivière,
élégants pétales
émeraudes.
Le vent agite les feuilles des peupliers
Musique argentée
Un bruissement
Nuages blancs,
poignées de coton dans le ciel bleu,
posées - immobiles.
L'eau coule,
glouglou ininterrompu,
dans le souffle de l'air.
Papillons blancs
dansent sur les herbes
Pétales affolés
Le vent dans les arbres
Et sur mon visage
De l'air !
Bruissement et glougloutement
La nature parle
A nos sens.
Au bord de la rivière
Respiration
Par une chaude après-midi d'été
Elina n'écoute pas
Elle barbote et clapote
Petit chien fou
Une 2CV rouge sur la route.
Trois enfants debout par le toit ouvert
agitent les bras et font coucou.
lundi 17 juin 2013
mardi 11 juin 2013
Prix Lucien Laborde
En avril,
j'ai envoyé ma participation
pour le prix de poésie Lucien Laborde
sur le thème "Jeux, jouets..."
Dans l'attente de la sélection,
mon texte est encore secret...
Dans l'attente de la sélection,
mon texte est encore secret...
Cartes postales
Avec un peu de retard,
les voici, les voilà...
8 modèles de cartes
pour mettre des couleurs
dans vos petits mots !
les voici, les voilà...
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Une série de dessins à 2 mains : Commencés par ma fille, terminés par moi.