mardi 25 mars 2014

Les Plumes des Fontaines


Voici le poème que j'ai adressé 
à l'association "Plumes des Fontaines
pour son concours sur le thème des grands-mères : 

Bienvenue

Je suis heureuse de vous voir
Ne restez pas dans le noir
Entrez-donc mettez-vous au chaud
Surtout ne prenez pas froid

Je me suis levée tard
J’ai fait des cauchemars
J’ai entendu du bruit
Que voulez-vous boire ?

Je n’avais pas chaud
J’ai rallumé le fourneau
Les poules ne pondent plus
Veux-tu du café chaud ?

Ton père est passé matin
La boulangère a porté le pain
Elle fait de bons gâteaux
Je n’ai pas très faim

Il ne fait pas bon vieillir
A quoi bon traîner ainsi
On n’est plus bon à rien
Il vaudrait mieux partir


L’Hurluberlu



Voici le poème que j'avais proposé 
au concours "10 mots m'ont dit" : 


L’Hurluberlu

Ouf ! J’ai rencontré un hurluberlu !
Un grand garçon dégingandé,
A l’air hagard, à l’air perdu,
Nourri de fariboles, de drôles d’idées,
D’histoires à dormir debout, turlututu,
Et de contes complètement dépassés.  

Il en a la tête toute tourneboulée.
Le pauvre ne sait plus où il en est !
Son cerveau ressemble à un chantier,
Un tohu-bohu, un grand charivari,
Un vrai tintamarre, une cacophonie…
Il cherche midi à quatorze heures.
Mais il peut bien chercher, et chercher encore
Car midi est parti depuis belle lurette
Quand quatorze heures se pointe à la fenêtre !

Il passe son temps à s’enlivrer,
Il s’enivre et s’enivre de livres, mais en vérité, il s’enlise :
Les livres s’empilent à ses côtés,
Comme des montagnes de mots valises…
On ne voit même plus le bout de son nez !  

Il est complètement timbré ! Estampillé « incurable»,  
Il est irrécupérable !
Il marche en zigzags, les livres à la main
Et le nez, pas en l’air, non, le nez dans les bouquins !
A chaque fois, c’est inratable : 
Il se cogne au réverbère !
Celui-ci a beau éclairer à tire-larigot et en cadence,
Clignoter de toutes ses forces, comme un spot qui ambiance,
Lui, n’aperçoit rien de rien et embrasse violemment le grand poteau de fer ! 

La Roulotte de Galopin et Rosalie

Début du texte : 

Lassés par la ville et le bruit des klaxons, Galopin et Rosalie ont décidé d’aller vivre dans une roulotte.

Dans un petit pré bordé d’arbres, ils ont installé la roulotte qu’ils ont achetée et qu’ils doivent aménager.

Ils ont fait des plans, des listes de choses à faire, à acheter, encore des plans et encore des listes… jusqu’à trouver les bonnes solutions.

Ils sont tout excités par cette nouvelle vie qui va commencer. Ils pourront profiter de la nature, faire de longues promenades, cultiver un potager pour faire pousser leurs légumes, manger dehors et entendre le chant des oiseaux. 

La nuit, je rêve…



                   La nuit, je rêve.
                   La nuit, je lève les yeux au ciel.
                   Je regarde les étoiles qui brillent comme des diamants dans le noir.
                   Et je rêve…

                   J’imagine d’autres mondes, d’autres espaces, au-delà de ces lumières
                   brillantes.
                   Loin, si loin.

                  J’imagine que je vole, porté par un gros ballon rouge.
                  Le ballon m’emporte haut dans le ciel, au-dessus des nuages.
                  Je survole la terre : la Russie, la Chine, les océans…  

                  Et je monte. Je monte encore plus haut dans l’atmosphère.
                  En levant la tête, j’aperçois la Lune, toute blanche, posée dans le ciel.  



                  Elle grossit à vue d’œil. (...)

Un jour, un dessin... Un jour, un texte... Semaine 8







Un jour, un dessin... Un jour, un texte... Semaine 7



lundi 3 mars 2014

Un jour, un dessin... Un jour, un texte... Semaine 4








Pas trop eu le temps de dessiner, ni même d'écrire 
en cette fin de semaine...
entre démontage d'expo et salon du livre. 

On va essayer de se ressaisir !